Les études sur l’impact d’une conception avec donneur sont encore inexistantes. Une étude indique que seules 10% des personnes connaîtraient leur mode de conception. Les voix des personnes nées par cette approche médicale et qui s’expriment publiquement ou dans les associations questionnent de par la souffrance dont elles font part. Rares sont celles des plus de 40 ans alors que la méthode a près d’un sièce.
Les médecins initiant cette méthode attestaient eux-mêmes être dépassés par des questions d’ordre législatives ou psychologiques. Ce n’est d’ailleurs pas leur métier.
Il est temps de se donner les moyens d’adresser ces sujets avec une approche de fonds et ainsi de pouvoir mettre en place une législation basée sur des faits scientifiques et non sur ce qui semble acceptable pour le cadre social ou un alignement avec les législations d’autres pays.